DÉFENDRE LA SANTÉ ET LES DROITS DES FEMMES EST UNE PRIORITÉ
POUR CONSTRUIRE UNE SOCIÉTÉ PLUS JUSTE.
Les sages-femmes en sont les garants au quotidien : grossesse, accouchement, santé gynécologique, IVG, sont autant d’occasions au cours desquelles ces professionnel·les les accompagnent.
Les femmes restent pourtant confrontées à de nombreuses problématiques pour leur santé et leurs droits. Une proposition de loi peut apporter des réponses concrètes et ambitieuses pour y répondre.
Se mobiliser pour la santé des femmes, c’est construire une société plus juste.
en soutenant la proposition de loi
suivante, je défends la santé et les droits des femmes.
01
DOTER LA FRANCE D'UNE STRATEGIE NATIONALE DE LA SANTE SEXUELLE ET REPRODUCTIVE
02
CREER TROIS CONSULTATIONS AUX MOMENTS-CLES DE LA VIE DES FEMMES ET DES COUPLES
Instaurer une première consultation, destinée aux adolescents, centrée sur l’entrée dans vie sexuelle et affective ; la seconde, lorsqu’une personne ou un couple exprime le désir de concevoir un enfant ; puis la dernière, pour les femmes de 45 à 55 ans dans le cadre de l’accompagnement à la ménopause
Instaurer une première consultation, destinée aux adolescents, centrée sur l’entrée dans vie sexuelle et affective ; la seconde, lorsqu’une personne ou un couple exprime le désir de concevoir un enfant ; puis la dernière, pour les femmes de 45 à 55 ans dans le cadre de l’accompagnement à la ménopause.
03
RENFORCER LA PREVENTION GENESIQUE AUPRES DES PERSONNES EN SITUATION DE HANDICAP
Généraliser le programme Handigynéco créé par l’ARS Ile-de-France en développant trois actions : création de consultations adaptées de suivi gynécologique ; information à la vie sexuelle et affective ; formation des personnes travaillant dans les établissements sociaux et médico-sociaux.
04
AMELIORER ET SIMPLIFIER LE PARCOURS PERINATAL DES FEMMES EN RENFORÇANT LES EFFECTIFS
Renforcer les effectifs, clé d’amélioration de la qualité des prises en charge mais aussi de l’attractivité au sein des maternités en fixant les normes minimales tous les 5 ans après avis de la Haute Autorité de santé, instance scientifique indépendante.
05
AMELIORER LE SUIVI POSTNATAL POUR MIEUX PREVENIR LES DEPRESSIONS DU POSTPARTUM
Améliorer le suivi postnatal qui permet prévenir les dépressions du postpartum et de les repérer précocement en remboursant à 100% par l’assurance maladie l’entretien postnatal précoce et les séances postnatales.
06
FACILITER LE PARCOURS ANTENATAL DES FEMMES ET DES COUPLES
Permettre aux sages-femmes de prescrire un congé pathologique à leurs patientes quand cela est nécessaire, ce qui permettra à ces dernières d’être mieux indemnisées.
07
GARANTIR LE LIBRE CHOIX DU LIEU D'ACCOUCHEMENT
Intégrer les sages-femmes au dispositif de l’accréditation des professions dîtes à risques et établir des recommandations de bonnes pratiques afin de faciliter le développement d’une offre d’accouchement sécurisée en maison de naissance et à domicile.
08
RENFORCER LA PRISE EN CHARGE DES FAUSSES COUCHES
Améliorer la prise en charge lors de fausses couches en permettant aux femmes et aux couples de bénéficier d’un congé de droit et d’être adressés directement vers un psychologue dans le cadre dispositif « mon psy » par une sage-femme.
09
RENFORCER LA PLACE DES SAGES-FEMMES EN GYNECOLOGIE EN LIBERANT LE POUVOIR DE PRESCRIPTION
Inscrire les compétences gynécologiques des sages-femmes dans un parcours coordonné et supprimer la liste limitative de prescription des médicaments afin de lever les freins à l’exercice.
10
DEFINIR JURIDIQUEMENT LES VIOLENCES GYNECOLOGIQUES ET OBSTETRICALES
Définir juridiquement les violences gynécologiques et obstétricales afin de mieux les prévenir et les sanctionner comme des atteintes aux personnes et/ou des outrages sexistes déjà existantes dans le code pénal mais commis par des professionnels de santé dont cette qualité constituerait alors une circonstance aggravante.
Définir juridiquement les violences gynécologiques et obstétricales afin de mieux les prévenir et les sanctionner comme des atteintes aux personnes et/ou des outrages sexistes déjà existantes dans le code pénal. La qualité de professionnel de santé constituerait une circonstance aggravante.